Le plaisir retrouvé de se lever chaque matin... ANIMA Hypnose & Coaching

lundi 23 décembre 2024

Quand l’absence devient lumière : hommage à ceux qui vivent en nous

La mémoire d’un être cher

Ce matin, mes pensées vont vers mon grand-père. Il est né un 23, au tout début du siècle dernier. Un homme d’une générosité rare, sans doute la plus belle âme que j’aie croisée. Il est parti depuis longtemps, mais son souvenir reste vif. Je revois son rire, sa voix, sa peau, ses gestes familiers. Il me manque. J’aimerais pouvoir le serrer dans mes bras, ne serait-ce qu’une fois encore.

Non, je ne suis pas triste. Mais parfois, je ressens physiquement son absence. Comme un vide qui pèse sur le corps. Et dans ce creux-là, quelque chose apparaît.

Absence et présence : les deux faces d’un même lien

Évoquer une absence, c’est en convoquer la présence. Chaque fois que le manque me traverse, l’autre revit en moi. Par le souvenir, par l’émotion, par la mémoire sensorielle. Il y a une forme de présence dans le manque. Comme deux faces d’une même pièce. Héraclite le disait déjà : les contraires s’appellent. L’absence appelle la présence, l’ombre révèle la lumière.

Et aujourd’hui, je ressens surtout de la douceur. Ce sont des éclats d’amour qui demeurent. Des traces précieuses que je garde comme un écrin. Être témoin de leur existence, c’est porter en soi quelque chose d’eux. Une lumière intérieure, fragile et puissante à la fois.

La lumière de ceux qui ne sont plus là

Je me sens honoré d’avoir croisé leur chemin. Chacun d’eux m’a transformé, éclairé. Ils continuent de m’accompagner. Même absents, ils me révèlent encore à ce que je suis. Ils m’aident à maintenir ce fragile équilibre qu’est la vie.

Et je sais que je ne suis pas seul à ressentir cela. En cette période de fin d’année, les absents se font souvent très présents. Parfois cruellement. Les "partis trop tôt", les silences à table, les regards qui cherchent et ne trouvent plus.

Honorer les liens invisibles

Alors en ce 23 décembre, je nous souhaite à tous de nous reconnecter à ces présences invisibles. Non pas dans la douleur, mais dans la tendresse. Que ces lumières que nous portons en nous puissent réchauffer nos cœurs et éclairer nos chemins. Même au milieu des festivités, même dans la joie.

Ce sont des présences vivantes, lumineuses, et précieuses. Haut les cœurs.

Besoin d’un espace pour déposer, honorer ou se recentrer ?

Je vous accompagne au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême (Charente), ou à distance.
Pour réserver une séance : 07 69 93 33 18.

dimanche 22 décembre 2024

La vie a-t-elle un sens ?

Quand un film d’animation touche à l’essentiel

C’est assez rare pour être noté : j’ai récemment regardé un film d’animation, Soul des studios Pixar. L’histoire d’un professeur de musique, passionné de jazz, qui attend désespérément de vivre enfin "sa vraie vie". Il est convaincu que son bonheur repose sur cette vocation tant rêvée. Mais le destin – ou la vie – va lui jouer quelques tours.

Entre aventures rocambolesques, réflexions spirituelles légères et bandes son jazzy, ce film m’a touché. Notamment sur ce point précis : ce besoin profond que l’on peut avoir de donner un sens à sa vie. Trouver sa mission, sa voie, son idéal. Comme si notre existence n'était valable qu’à condition d’y parvenir.

Trouver un sens à sa vie : quête ou piège ?

C’est une question que je rencontre souvent dans mes accompagnements : "Quel est le sens de ma vie ?"
Certains cherchent avec intensité, parfois avec désespoir. D’autres pensent l’avoir trouvé, et l’érigent en vérité absolue. Et puis, il y a ceux pour qui cette quête devient douloureuse. Elle crée une pression immense. Un idéal à atteindre, un but parfois flou, souvent inaccessible, mais vécu comme une condition sine qua non du bonheur.

Dans cette logique, il faudrait attendre d’avoir trouvé le sens pour pouvoir enfin se sentir vivant. Et en attendant ? On retient son souffle. On se juge. On se fige. On se croit en échec. C’est une mécanique bien cruelle, car elle nous éloigne du vivant. Du simple fait d’être.

Une autre façon de vivre le sens

Quelque part, dans un livre dont j’ai oublié le nom, un auteur proposait une métaphore pleine de douceur. Il suggérait d’imaginer le sens de la vie non pas comme un objectif à atteindre, mais comme un spray. Un diffuseur qui envoie partout, autour de nous, des gouttelettes de sens.

Pas un seul sens. Du sens, en dispersion. Partout, tout le temps. Dans les gestes simples, les relations, les instants présents. Cette image m’a marquée. Elle fait écho au message du personnage "22" dans le film Soul, cette âme en quête de ce petit je-ne-sais-quoi pour s’incarner. Ce rappel que le vivant est déjà là, dans la vie elle-même.

Et si on cessait de chercher ?

En ce 22 décembre, je nous souhaite de cesser de remettre à demain ce qui pourrait nous rendre vivant maintenant. De ne plus attendre un idéal, mais d’accueillir les instants, tels qu’ils sont. D’inspirer chaque goutte du présent comme un sens en soi.

Le sens n’est peut-être pas à trouver. Il est à vivre.

Vous sentez-vous parfois perdu face à cette quête de sens ?

Je vous accompagne avec bienveillance pour vous reconnecter à ce qui est déjà là, à ce qui vibre en vous.
Séances au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême (Charente) ou à distance.
Réservez votre séance au 07 69 93 33 18.

samedi 21 décembre 2024

Quel est le poids d’une vie ?

Ces instants où tout bascule

Vous souvenez-vous du film 21 grammes avec Sean Penn ? Ce film qui entremêle des vies bouleversées par un événement tragique. Je ne l’ai pas revu depuis longtemps, mais il a sans doute nourri certains de mes textes.

Il interroge profondément : qu’est-ce qui fait le poids d’une existence ? Ces moments de bascule, ces points de rupture qui marquent un avant et un après dans une vie. Nous en avons tous connu. Ils peuvent surgir dans la douleur comme dans la beauté. Ils nous transforment, parfois en silence, parfois dans un fracas.

Le poids d’une décision… ou d’un simple retard

Les moments décisifs ne sont pas toujours spectaculaires. Il y a ceux que l’on reconnaît instantanément – accidents, choix cruciaux, rencontres bouleversantes. Et puis, il y a ceux que l’on découvre après coup : un retard qui évite un drame, un oui ou un non anodin qui crée une cascade de conséquences.

Chaque instant porte en lui le potentiel d’un basculement. Une vie est faite d’un enchevêtrement de décisions, de non-décisions, de hasards heureux ou tragiques. Elle est dense. Dense de ressentis, de tournants imprévus, de confrontations et d’évitements, de chemins qui bifurquent sans prévenir.

Au cœur du chaos, notre capacité à vivre

Et au milieu de tout cela : nous. Essayant de tenir debout. De faire avec. De faire au mieux.

Et pourtant, même dans ce désordre apparent, il y a de la lumière. Il y a des élans de joie, des fous rires partagés, des gestes tendres, un regard qui touche, une musique qui éveille, une rencontre qui réanime. Tomber amoureux, sentir en soi un élan, une force, une liberté.

La vie passe partout, tout le temps. Elle est mouvement, elle est transition. Elle est ce qui palpite en nous, même dans les silences, même dans les creux.

Combien pèse une vie ?

Difficile à dire. Peut-être autant que ce qui a été vécu… et ce qui ne l’a pas été. Ce qu’on a choisi, ce qu’on a évité, ce qu’on a laissé passer.

Je n’ai pas de calculatrice assez puissante pour évaluer ce poids. Alors ici et maintenant, je choisis de m’attarder sur ce que je peux : l’intensité d’un instant. Ressentir, accueillir, vivre. Pleinement.

Une invitation à la présence

En ce 21 décembre, je nous souhaite une connexion intense et légère à chacun de nos instants. Car c’est peut-être là, dans cette attention, que réside le vrai poids de la vie.

Et si vous ressentiez le besoin de déposer, d’éclaircir, ou d’explorer ce qui pèse ou ce qui appelle en vous ?

Je vous accueille au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême (Charente) ou à distance, avec bienveillance.
Réservez votre séance au 07 69 93 33 18.

vendredi 20 décembre 2024

Se libérer du pouvoir de la note : un retour à l’essentiel

Des bons points à l’amour-propre : le poids de l’évaluation

Tout petit déjà, chaque bonne action me rapportait un bon point. Une récompense symbolique, qui, cumulée, se transformait en image colorée. Le Graal de l’enfance.

Puis vinrent les notes. Chiffrées, codifiées, elles remplaçaient les images pour évaluer la qualité de mes efforts. À la maison, une bonne note valait une félicitation, une mauvaise… une sortie annulée.

Et ce système, je ne l’ai pas quitté en grandissant. Comme beaucoup d’entre nous, j’ai continué à évoluer dans une société fondée sur l’évaluation constante.

De la salle de classe à la vie d’adulte : les nouvelles formes de notation

Avec le temps, les notes ont changé de forme.
Elles sont devenues salaire, statut social, nombre d’amis, mètres carrés, qualité de vêtement ou de téléphone, destinations de voyage.

À chaque étape, quelque chose d’extérieur semblait mesurer ma valeur. Et bien souvent, ma confiance en moi en dépendait.

Aujourd’hui encore, à la maison, les notes de mes enfants influencent parfois la légèreté des échanges. Il m’arrive de plaisanter plus facilement quand leurs résultats sont bons. Sinon… la tension monte, subtilement. Les anciens schémas sont tenaces.

Vers un autre regard : créer pour la joie, non pour être noté

Mais voilà : je ne veux plus laisser les notes dicter mon état intérieur.

Je choisis, autant que possible, de créer par plaisir. D’écrire, de partager, de faire ce qui m’anime. Ces posts en sont le reflet. Ce sont des élans sincères, libres. J’ai compris qu’aucune note, aucun chiffre, ne pourra jamais me résumer.

Alors oui, c’est un soulagement. Une sensation de liberté. Un retour à ce qui est vrai.

...Mais l’ego veille toujours

Sauf que… soyons honnêtes.

Il m’arrive encore de regarder le nombre de likes. D’attendre un retour. De guetter une validation. Le vieux réflexe de la note n’est jamais bien loin.

Le chemin vers la liberté intérieure est un processus. Pas à pas, on apprend à se recentrer, à s’en détacher, à se nourrir autrement.

En ce 20 décembre : s’affranchir de la note pour cultiver la joie

Ce 20 décembre, je nous souhaite de nous délester du poids des évaluations. De revenir à la source. À ce qui nous fait vibrer.

Que nos élans ne soient plus conditionnés par une note, mais inspirés par ce qui nous met en joie.

Envie de vous reconnecter à ce qui vous anime profondément ?

Je vous accompagne en hypnose, en douceur, pour explorer ce qui vous limite encore, et libérer ce qui vous rend vivant.

Réservez votre séance au 07 69 93 33 18, au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême ou à distance.
Votre valeur n’est pas à prouver, elle est à vivre.

jeudi 19 décembre 2024

L’éternel recommencement : cycles de vie, d’évolution et de transformation

Recommencer : une boucle qui n’est jamais vraiment fermée

« La boucle est bouclée. » « Retour à la case départ. »
Autant d'expressions qui disent ce que nous ressentons souvent : le sentiment de revivre, encore et encore, certaines expériences, comme si la vie avançait en spirales.

Mais ces spirales ne sont pas des retours en arrière. Elles portent en elles l’élan d’une évolution profonde, même si elle ne se manifeste pas toujours dans l’instant. Le sens, lui, se révèle à l’échelle d’une vie.

Une transformation constante, parfois douce, parfois brutale

Certaines évolutions se font en douceur, dans des ajustements subtils. D'autres surgissent comme des cataclysmes intimes.
Mais dans tous les cas, nous sommes invités à apprendre, comprendre, intégrer, souvent au fil des cycles que nous traversons.

Combien de fois nous sommes-nous promis de « retenir la leçon cette fois-ci » ? Et pourtant, l’expérience revient. Sous une autre forme. Pour nous permettre d’aller plus loin.

Corps, pensées, émotions : un mouvement perpétuel

Nos corps se régénèrent. Nos pensées se renouvellent. Nos émotions nous traversent. Chaque rencontre, chaque épreuve, chaque joie vient enrichir notre paysage intérieur.
Nous grandissons malgré nous, au gré des cycles invisibles de la vie.

Même nos erreurs se répètent, avec leurs parts d’orgueil, de pulsions, de peurs. Les conflits naissent, se rejouent. À petite ou grande échelle.

Mais au cœur de ce chaos apparent, il y a aussi cette force de vie, cette capacité à retrouver le goût d’aimer, à reconstruire un équilibre là où tout semblait détruit.

Le 19 décembre : une invitation à observer et célébrer

Ce jour du 19 nous rappelle que chaque fin contient un début. Que même dans la noirceur, une lumière peut naître.
Souvent invisible au départ, cette force nous transforme. Elle échappe à notre volonté, mais nous pousse à évoluer.

Nous ne savons pas toujours où elle nous mène, cette énergie vitale. Mais elle nous appelle à aller plus loin, à nous dépasser.

Honorer les cycles et faire confiance au mouvement

En ce 19 décembre, je nous souhaite de regarder notre chemin avec gratitude. D’accueillir autant les ruptures que les renaissances, les fins que les recommencements.

C’est ce mouvement, cette évolution permanente, qui fait la richesse de nos vies.

Et si vous preniez un temps pour écouter vos cycles intérieurs ?

Je vous accompagne en séance d’hypnose au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême, ou à distance. Appelez-moi au 07 69 93 33 18 pour réserver votre séance.

Faites un pas dans la conscience de vos propres cycles d’évolution.

mercredi 18 décembre 2024

Les transitions du quotidien : ces instants où nous changeons de peau

18 heures : le moment du basculement

18 heures. Une sonnerie, une vibration dans l’air, et tout bascule. C’est l’heure des transitions, un passage subtil mais puissant d’un monde à un autre.

Je regarde ces longues files de voitures, ces silhouettes pressées. Chacun quitte un rôle – celui du travailleur – pour en endosser un autre : sportif du soir, parent attentif, compagnon aimant. À 18 heures, un nouvel état d’être prend le relais.

Et bien sûr, je suis de ceux-là, moi aussi.

Ces moments où l’on change de peau

Il existe mille autres transitions. Vous voyez ? Ce soir où les vacances commencent enfin. L’attitude change. On balance ses chaussures dans un coin, on dénoue la cravate sans ménagement. Le corps s’allège, l’esprit aussi.

Le matin aussi, tout bascule. Encore en pyjama il y a quelques instants, nous voilà déjà au bureau, frais ou presque, posture droite et visage prêt à affronter le jour.

Sommes-nous les mêmes… ou plusieurs à la fois ?

Alors, qui sommes-nous vraiment ? Sommes-nous les mêmes avec nos collègues, qu’avec notre boulanger ou nos enfants ? Oui… et non.

Certains parleront de rôles sociaux. D’autres évoquent des masques. Pour ma part, j’y vois des expressions riches et multiples de soi. Chacune juste, chacune authentique à sa façon.

Nous changeons d’énergie, de langage, de regard. Un peu comme Hulk devenant tout vert en un éclair ou comme Mr Hyde retournant à Dr Jekyll.

La liberté d’être tout et son contraire

Ce que j’aime dans cette multiplicité, c’est la liberté qu’elle donne. Refuser les étiquettes, les définitions rigides. Être cela, et autre chose. Défauts, qualités… tout cela cohabite, évolue, se nuance.

Nous sommes mouvants, en constante redéfinition. Et c’est tant mieux.

Se relier à ce qui nous traverse

En ce 18 décembre, je nous souhaite de renouer avec cette part souple et sage en nous, celle qui observe, ressent, et laisse chaque facette s’exprimer librement. Elle ne juge pas, elle laisse faire. Elle fait place à tous nos personnages intérieurs.

Haut les cœurs, et vive cette richesse-là.

Envie d’explorer vos multiples facettes en toute liberté ?

Je vous accompagne en douceur avec des séances d’hypnose sur mesure, au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême, ou à distance.

Appelez-moi au 07 69 93 33 18 pour réserver votre séance.
Faites de vos transitions des points d’appui vers plus de cohérence et de liberté intérieure.

mardi 17 décembre 2024

Entre deux eaux : la part d’adolescence qui nous accompagne

L’adolescence : ce territoire fragile et conquérant

Je croise chaque jour des adolescents. Au cabinet, dans la rue, dans les familles… Ils sont partout, visibles et pourtant insaisissables. Une démarche hésitante, une attitude fière, des silences profonds, des rires francs. Des êtres en mutation, entre deux âges, entre deux mondes.

Ils ne sont plus tout à fait enfants, pas encore adultes. Ils avancent, fragiles et conquérants à la fois, dans cet espace si particulier du devenir.

Une question d’âge… ou de perception ?

Quand on me demande mon âge – ce qui arrive de moins en moins, sans doute par politesse – je me surprends parfois à hésiter. Entre 17 ans et l’éternité. Un écart étrange, un ressenti flou.

Il y a en moi l’élan du jeune, l’enthousiasme parfois naïf, mais aussi la lucidité du vieux briscard. Et parfois l’inverse. Tout cela coexiste, dans un même souffle, un même instant.

Les chiffres ? Ils se bousculent. Je ne suis pas plus 80 ans que je n’ai été 17 ans. Mais il me semble que cela fait de plus en plus longtemps que j’ai 17 ans. Un âge qui persiste, comme une empreinte vivante. On s’y perd, peut-être… mais c’est une perte joyeuse.

Entre deux eaux : une navigation permanente

Je me sens toujours adolescent. En devenir. En tension. Pas celui d’hier, pas encore celui de demain. Un être mouvant, en construction permanente.

J’avance ainsi : à la fois agile et maladroit, sensible et affirmé, curieux du chemin, même quand je ne le maîtrise pas. Naviguant à vue, entre deux eaux.

J’aime cette image : une vie qui se construit sans mode d’emploi, à partir du pas posé, de l’événement traversé. Une évolution qui échappe à toute ligne droite, et c’est très bien ainsi.

Rester adolescent quelque part en soi

Ce 17 décembre, je nous souhaite de renouer avec cette part adolescente, vivante, mouvante, pleine de possibles. Cette part de nous qui doute mais qui avance, qui cherche sans toujours savoir, qui invente.

Et si ce n’était pas un âge à quitter, mais un espace à garder vivant en soi ?

Besoin d’un espace pour retrouver votre élan intérieur ?

Je vous accompagne avec bienveillance, en séance d’hypnose au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême, ou à distance selon votre besoin.

Appelez-moi au 07 69 93 33 18 pour réserver votre séance.
Faisons de cette traversée un chemin éclairé.

lundi 16 décembre 2024

La Charente, un fleuve de lumière et de douceur

La Charente : un fleuve qui murmure à l’âme

Et au milieu coule une rivière… ou plutôt un fleuve. Tout en courbes, tantôt large ou discret, parfois débordant de ses larmes de pluie, teinté de brun et de vert, la Charente glisse doucement sous les ponts anciens. Elle avance au rythme tranquille des écluses qui la retiennent, dans un souffle lent, benèze, comme on dit ici.

Entre peupliers et saules pleureurs, elle déroule un ruban vivant, baigné de reflets célestes. Le bleu du ciel souligne les chemins blancs, et chaque pas au bord de l’eau devient une respiration.

Entendre la Charente : le chant discret de la nature

Avez-vous entendu la Charente ? Elle chuchote entre deux haies, souffle dans les champs, respire à travers les villes. Parfois, au loin, les collines douces accueillent les vignes fières, gonflées de soleil et enracinées dans le calcaire.

Des bosquets, comme des touffes au sommet des terres, cachent les chapelles romanesques, leurs clochers sombres, les villages endormis. La pierre, patinée par le temps, abrite les lauriers et rosiers. Elle reflète la lumière des étoiles dans ses joints creusés. Ici, la terre est couleur, lumière, douceur… et toujours, au milieu, coule le fleuve.

Lire la Charente : une écriture vivante dans les paysages

Avez-vous lu la Charente ? Elle s’écrit en champs de tournesols flamboyants, en étendues de blé ondulant, en maïs ployant sous le souffle du vent de l’océan.

Elle se lit dans les lignes serrées des vignobles, partition lente d’un morceau de piano joué dans le Valois, dans les nuits romanes baignées de silence et de châteaux. Libre, toujours, et délicate comme une bulle.

Angoulême veille, depuis son balcon de roches, plateau fier, terre de foires, d’histoires, de textes et d’images. Une ville d’art posée sur un socle d’or et de mémoire.

Rêver la Charente : entre pierre, eau et imaginaire

Avez-vous rêvé la Charente ? Une brume blanche s’élève, spirale douce comme une cagouille entre deux tours. Aux portes de Cognac, l’élixir coule, précieux, dans les verres et les cœurs.

Debout sur un pont, larguez les amarres, laissez-vous traverser. Écoutez les cloches, les carillons : la Charente vous parle. Sur ma gabarre, je rêve, j’écoute, je lis cette rivière… et vous ?

Une invitation à la douceur

En ce 16 décembre, je nous souhaite un doux amour avec notre belle Charente, cette terre vibrante de calme, de poésie et de vie.

Et si vous vous offriez un moment de calme intérieur ?

Pour explorer en vous ce même flow naturel, je vous propose des séances d’hypnose personnalisées, au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême ou à distance.
Appelez-moi au 07 69 93 33 18 pour réserver votre séance.

dimanche 15 décembre 2024

Les lieux nous habitent : mémoire intime de nos espaces de vie

Quand nos murs gardent nos histoires, entre douceur, blessures et renaissances

Lieux de passage ou d’ancrage : que la maison devienne mémoire

Bien longtemps après les avoir quittés, certains lieux nous accompagnent encore.
Ils restent en nous, comme des empreintes invisibles mais profondes. Il suffit parfois d’un souvenir, d’un chiffre ou d’un détail pour que resurgisse une émotion, une atmosphère, un fragment de vie. Un numéro de rue, par exemple. Aujourd’hui, c’est le 15 décembre qui réveille en moi l’écho du 15, rue d’une maison parisienne.

Le poids émotionnel de nos maisons

Cette maison, c’était la première vraie. Celle de Nathalie et moi, à Paris.
Un lieu de départ, de construction, de vie. Notre fille y a grandi. Des rires d’enfant, des premières fois. Mais aussi les épreuves, les accidents de la vie. La vie dans toute son intensité, dans un même espace.

Je ressens encore, des années plus tard, la tendresse d’un foyer, mêlée à l’effroi de certaines nouvelles. Ces contrastes marquent un lieu à jamais. Car ce n’est pas seulement nous qui habitons une maison : elle aussi nous habite.

Les lieux nous portent et nous transforment

Les murs, les toits, les arbres du jardin…
Tout cela nous abrite, mais aussi nous écoute. Nous nous y déposons. Ils deviennent parfois les seuls témoins de notre intimité la plus profonde. Ce jardin, ces arbres furent mes confidents silencieux. Leur présence m’a porté, leur sagesse m’habite encore.

Ce n’est pas un attachement matériel. C’est un lien plus subtil, plus intime. Un lien qui fait que les lieux peuvent nous accompagner longtemps après. Comme des compagnons discrets de nos métamorphoses.

“Les lieux nous choisissent autant que nous les choisissons”

Cette phrase entendue récemment de Marie-Pierre Dillenseger m’a profondément touché.
Elle met en lumière cette réciprocité que l’on ne soupçonne pas toujours. Et si, au fond, nous étions appelés par certains lieux pour y vivre ce qui doit être vécu, transformé, incarné ?

Dans ce cas, honorer nos lieux devient essentiel.
Les remercier, les quitter avec respect, prendre soin de ce qu’ils nous ont offert. Les lieux accueillent nos soupirs, nos silences, nos rires et nos larmes. Ils méritent d’être vus pour ce qu’ils sont : des alliés invisibles de notre parcours intérieur.

En ce 15 décembre, une invitation à la reconnaissance

Je nous souhaite, en ce 15 décembre, de rencontrer véritablement nos lieux de vie.
De les écouter autrement, de leur parler peut-être. D’en faire des compagnons de confiance, des gardiens de nos transformations, de nos renaissances.

Et si vous exploriez ce qui vous habite profondément ?

Certains lieux réveillent des émotions enfouies, des souvenirs oubliés.
Si vous ressentez le besoin de poser un regard nouveau sur votre passé, ou d’alléger ce qui pèse encore en vous, je vous accompagne avec bienveillance.

Séances au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême (Charente) ou en téléconsultation, à distancePrenez rendez-vous au 07 69 93 33 18.

samedi 14 décembre 2024

Le pouvoir des mots : quand la lecture façonne notre monde intérieur

Le 14 décembre, une invitation à ressentir, explorer et s’ouvrir à l’invisible par la force des récits


Une date, un souvenir : quand un livre resurgit

Aujourd’hui, c’est un roman oublié qui refait surface en moi : 14 de Jean Echenoz. L’histoire bouleversante de quatre jeunes hommes, plongés dans l’enfer de la Première Guerre mondiale. Une plume directe, dépouillée, sans fard. Et cette boue, omniprésente, engloutissant la vie comme la mémoire. Un récit marquant, gravé quelque part à l’intérieur.

Il est fascinant de constater comment un simple chiffre — la date du jour — peut réveiller une mémoire enfouie. Ce roman, je ne l’avais pas convoqué. Et pourtant, à l’instant même où son titre a surgi, tout est remonté : les émotions, l’effroi, les blessures, les visages. Une puissance invisible, intacte.

Les mots : des fenêtres sur d’autres mondes

Certains textes laissent en nous des empreintes durables. Un mot, une phrase, et c’est tout un univers qui se déploie. Les lectures agissent en profondeur, bien au-delà de l’intellect. Elles éveillent nos sens, élargissent notre palette émotionnelle, nous ouvrent à d’autres manières de ressentir.

En y repensant, tant de récits m’ont transporté. Dans des vies autres, dans des territoires inconnus, dans les mystères de la condition humaine. Ils m'ont initié à l’intensité de certaines émotions, à des vérités que seule la fiction semble pouvoir transmettre.

Se laisser transformer par la lecture

Tout cela vit en moi. Ces lectures sont devenues invisibles, comme absorbées dans la texture même de ce que je suis. Je n’en ai pas toujours conscience, mais elles sont là, tapies dans les replis de l’âme. Elles façonnent mes ressentis, mes pensées, mes représentations.

Lire transforme, parfois imperceptiblement, parfois radicalement. Les récits modifient nos schémas inconscients, activent des zones de sensibilité, créent des sillons profonds. Ils peuvent devenir des guides silencieux, des compagnons d’évolution.

Le 14 décembre : et si on ouvrait une nouvelle page ?

En ce 14 décembre, je nous souhaite de croiser à nouveau ces textes puissants qui touchent, transforment et élargissent notre vision du monde. De nous laisser traverser, sans chercher à comprendre. D’accueillir ce que les mots réveillent, transmutent, éveillent.

Parfois, une simple lecture peut devenir une porte. Une bascule intérieure. Une lumière dans les zones d’ombre.

Vous reconnecter à ce qui vous anime profondément

Et si vous ressentiez le besoin d’explorer ces dimensions invisibles qui vous façonnent ?
Je vous accompagne dans ce voyage intérieur, au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême, ou à distance, avec douceur et présence.
Prenez rendez-vous au 07 69 93 33 18.

vendredi 13 décembre 2024

Superstition et inconscient collectif : ce que le 13 révèle de nous

Vendredi 13 : Un jour propice à explorer les parts invisibles qui nous animent depuis toujours

Les superstitions : entre réflexes anciens et croyances inconscientes

Les superstitions se propagent comme des murmures ancestraux, s’ancrant dans nos gestes quotidiens sans que nous en ayons pleinement conscience. Elles ressemblent à des rumeurs millénaires, venues de loin, adoptées presque sans y penser. Et pourtant, elles façonnent subtilement nos perceptions.

Il m'arrive, moi aussi, d’attribuer une signification à une date, une rencontre, une couleur. Comme si chaque détail portait une mémoire silencieuse. Ce réflexe m’évoque à quel point nous sommes tissés de culture, d’expériences et de traditions transmises parfois sans mots. Une culture peut-être apprise… ou innée ?

Un héritage invisible inscrit dans la psyché collective

Carl Jung parlait de l’inconscient collectif, cette empreinte universelle partagée par l’humanité entière. Nous y puisons des symboles, des intuitions, des habitudes. Même sans y croire, combien d’entre nous touchent du bois, croisent les doigts, ou replacent un pain à l’endroit sans y penser ?

Sans me dire superstitieux, je perçois en moi ces gestes, ces rituels, comme les fragments d’une sagesse ancienne. Nous sommes les dépositaires d’un héritage invisible. Le visible de nos actions masque souvent ce qui, au fond, nous guide depuis la nuit des temps.

Le 13 : un symbole qui nous interroge

Ce 13, quelle que soit sa réputation, nous parle. Non pas d’un hasard malheureux, mais d’un rappel symbolique de ce qui nous échappe. Il nous invite à reconnaître que nous sommes faits de mystères, d’ombres, de croyances enfouies. Il nous pousse à regarder ce qui, en nous, agit sans bruit.

Toucher le mystère du 13, c’est peut-être s’ouvrir à la complexité de notre nature humaine : à cette part sacrée, intuitive, irrationnelle… Et s’autoriser à l’accueillir avec curiosité.

Se connaître : un chemin semé de symboles

La connaissance de soi n’est pas une ligne droite. Elle serpente entre zones claires et territoires inconnus. Le 13 devient alors un guide symbolique : une invitation à explorer ce qui ne se voit pas, à honorer ce qui nous habite sans toujours se dire.

Aujourd’hui, laissons-nous porter par ces résonances subtiles, sans chercher à tout expliquer. Car en nous vit une richesse profonde, un foisonnement de références, de gestes et de croyances qui donnent du sens à ce que nous sommes.


Pour aller plus loin…

Et si vous preniez le temps d’explorer vos propres symboles intérieurs ?
Je vous accompagne dans cette démarche d’écoute et de transformation, au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême ou à distance. Réservez votre séance au 07 69 93 33 18.


jeudi 12 décembre 2024

Vivre pleinement chaque âge comme une fleur en éclosion

Le pouvoir symbolique du nombre douze

12/12/24. Une date marquée par la récurrence du douze, comme une invitation à la réflexion.
Ce chiffre traverse nos vies, nos cultures, nos systèmes. Il mesure, organise, structure. Sans forcément ordonner, il propose un cadre, un rythme.

On l’entend dans nos traditions : une douzaine d’huîtres pour Noël, douze œufs dans une boîte, une demi-douzaine d’oranges au marché.
On le lit sur nos montres : douze heures pour une demi-journée, deux fois par jour.
Il rythme notre calendrier : douze mois, douze cycles lunaires, douze signes du zodiaque.

Ce nombre qualifié de « sublime » trace une structure invisible mais omniprésente, dans laquelle nos vies s'inscrivent avec naturel.

Douze étapes pour traverser la vie

Et si notre existence pouvait, elle aussi, se lire en douze segments ?
Chaque section représentant un âge, un état, un passage.
La dernière serait l’heure du bilan, une forme de bascule vers un autre espace… peut-être celui de la transmission, de la sagesse, ou d’un nouveau commencement.

Comme les aiguilles d’une horloge, nous franchissons des caps, des épreuves.
Comme les douze travaux d’Héraclès, chaque étape nous pousse à évoluer, à nous dépasser, à révéler notre propre essence.

Le douze devient alors une mesure du temps qui passe, oui, mais aussi du chemin que l’on accomplit, intérieurement.

Chaque âge contient son trésor

À chaque période de la vie : une richesse unique.
Des découvertes, des émerveillements, parfois des pertes, toujours des transformations.
Rien ne disparaît : tout se transforme, se densifie, comme une boule de neige qui grandit en avançant.

Chaque âge possède ses révélations, ses trésors, sa beauté — pour qui choisit de les voir.
Ce sont des pierres jalonnant notre chemin : parfois légères, parfois lourdes comme des rochers.
Mais elles peuvent toutes servir à bâtir une passerelle stable, solide, transmise aux générations suivantes.

Le parfum de la fleur de l’âge

En ce 12 décembre, et quel que soit notre âge, nous pouvons choisir de le vivre pleinement,
non comme un chiffre sur un calendrier, mais comme une fleur à respirer.

La fleur de l’âge n’a pas d’heure fixe.
Elle est là quand on la reconnaît.
Quand on honore ce que l’on est devenu, sans regret ni projection.
Juste en accueillant le présent et ce qu’il a à offrir.

Et si vous offriez à votre âge toute sa profondeur ?

Je vous accompagne en séance d’hypnose pour traverser les âges de votre vie avec conscience, fluidité et sérénité.
Un espace pour relire votre parcours, intégrer ses étapes, et vous reconnecter à votre propre rythme intérieur.

Pour réserver une séance, contactez-moi au 07 69 93 33 18, à distance ou au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême, en Charente.

mercredi 11 décembre 2024

La Force du 11 : Une Énergie Intérieure Qui Ne Cède Pas

L’énergie de ceux qui avancent coûte que coûte

« Que la force du 11 soit avec toi ! »
En ce 11 décembre, je pense à celles et ceux que rien ne détourne de leur but.
Ces personnes obstinées, engagées, capables d’avancer malgré tout, de se relever après chaque chute, de continuer à créer, à bâtir, à porter.

Derrière les grandes réussites souvent médiatisées, il y a aussi des formes de persévérance discrète, parfois invisibles :
Se lever chaque matin pour assurer les besoins du foyer.
Rénover sa maison après une longue journée.
Veiller sur un proche en perte d’autonomie.
Étudier quand d’autres s’amusent.
S’impliquer bénévolement.
Cumuler les emplois pour avancer, sans renoncer à ses rêves.

Cette force existe partout autour de nous — et en nous.

Une force discrète mais puissante

Le chiffre 11, dans sa symbolique, évoque une force intérieure démultipliée.
Comme si deux unités — deux "1" — unissaient leur énergie pour former une puissance plus profonde, plus stable.

Cette énergie ne fait pas de bruit. Elle ne cherche pas à se montrer.
Mais elle tient bon.
Elle avance dans l’ombre. Elle crée, soutient, transforme.

On pourrait l’appeler pulsion de vie concentrée, ou capacité à s’engager malgré les vents contraires.
Beaucoup ignorent d’où elle vient. Et pourtant, elle les a tenus debout dans des périodes chaotiques.

Une invitation à reconnaître cette force en soi

Ce 11 décembre, je nous invite à honorer cette énergie.
À la reconnaître. À la remercier. À en prendre soin.

Prenons un instant pour nous remercier nous-mêmes :
Pour les efforts silencieux, les choix tenus dans la durée, les engagements faits sans attendre de retour.
Car au fond, cette force-là n’est pas rare. Elle est simplement trop souvent oubliée.

Et si vous appreniez à puiser dans cette force plus consciemment ?

En séance d’hypnose, je vous accompagne pour vous reconnecter à votre force intérieure, à ce noyau stable, parfois épuisé, mais toujours là.

Prenez rendez-vous au 07 69 93 33 18
Séances disponibles à distance ou au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême, en Charente.

mardi 10 décembre 2024

Accueillir le Vide : Trouver l’Unité entre Matière et Espace

Le vase : une métaphore ancienne et pleine de sens

Que serait un vase sans le vide en son centre ?
C’est ce vide, cet espace intérieur, qui lui donne toute sa fonction. Il permet d’accueillir les fleurs, de recevoir, de contenir, de mettre en valeur. Le vase n’est pas seulement ce qu’il montre à l’extérieur. Il prend sens par l’union de la matière et du vide.

Cette image millénaire, utilisée en méditation comme en philosophie, nous rappelle que c’est aussi par ce que nous laissons vide que nous offrons de la place à ce qui peut éclore.

Le visible, le tangible… et ce que l’on oublie de nommer

Nous avons mille mots pour désigner un vase :
Son apparence, sa forme, sa matière, ses couleurs, son style, sa fonction.
Qu’il soit soliflore, amphore, potiche ou burette… on sait le décrire sous toutes ses coutures.

Mais qui pense à parler de l’espace vide qui le constitue tout autant ?
Ce vide n’a pas d’autre nom que celui de "vide". Et pourtant, c’est lui qui détermine l’usage du vase. Il est ce qui permet, ce qui accueille, ce qui donne du sens au contenant.

Le vide comme fondement de l’être

Ce vide, par définition, n’est pas une absence. Il est.
Il ne peut être réduit, résumé, ni même déformé. Il existe dans sa simplicité essentielle.
Et c’est peut-être là que réside toute sa force : dans cette présence silencieuse au cœur de la matière.

C’est en regardant à la fois la forme et l’espace, le plein et le rien, que le vase prend tout son sens.
Comme en nous : ce que nous montrons est important, mais ce que nous laissons vide, libre, disponible l’est tout autant.

Le 10 décembre : symbole de l’unité

En ce 10 décembre, jour symbolique, le 1 rencontre le 0 pour former le 10.
L’un et le vide, le tout et le rien, la matière et l’espace.
C’est l’occasion d’honorer cette union fondatrice, celle qui structure l’univers autant que notre être.

Et si nous laissions aujourd’hui un peu de vide entrer dans nos trop-pleins ?
Laisser l’espace faire son œuvre. Offrir au silence, à la pause, au rien, un peu de place dans nos vies.
Ce n’est qu’à partir de là que peut émerger quelque chose de nouveau, d’aligné, de profond.

S’accueillir pleinement, dans sa matière et son espace intérieur

Accueillir le vide, c’est peut-être se rapprocher un peu plus de soi,
de cette unité intérieure faite de densité et de légèreté, de forme et d’invisible.

Je nous souhaite, en ce 10 décembre, de laisser entrer ce vide bienveillant,
et qu’il favorise un déploiement harmonieux, à l’image d’un vase accueillant sa plus belle fleur.

Envie d’explorer cet espace intérieur avec douceur ?

Je vous accompagne en séance d’hypnose pour faire de la place en vous,
laisser l’inutile se dissiper et vous reconnecter à l’essentiel.

Pour réserver votre séance, contactez-moi au 07 69 93 33 18,
au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême (Charente) ou à distance.

lundi 9 décembre 2024

Se rencontrer au fil des cycles avec le neuf

Clôture ou transformation ?

On dit que le chiffre neuf marque la fin d’un cycle.
Une parenthèse qui se referme, un chapitre qui se termine.

"The end"

Comme s’il suffisait de classer une expérience, une période de vie, dans un tiroir bien fermé, rangé au fond d’un placard. Et de ne plus jamais y revenir.
« Passer à autre chose », dit-on.

Mais est-ce vraiment ainsi que nous fonctionnons ?

Tiroirs ouverts, chemins en cours

Personnellement, mes tiroirs sont loin d’être fermés.
Certains restent entrouverts, d’autres s’enchaînent ou se superposent.
Parfois, j’ai l’impression que tous mes tiroirs ne sont qu’un seul, ouvert depuis ma naissance : un espace souple, en expansion, où chaque expérience s’ajoute sans jamais effacer la précédente.

Ce n’est pas une accumulation figée, c’est un développement continu.
Un mouvement vivant, organique, qui laisse la place à l’évolution, à la transformation, à l’intégration.

Observer, assimiler, se rencontrer

Peut-on vraiment "passer à autre chose" si ce qui nous a traversé n’a pas été regardé, accueilli, intégré ?
Observer ce que contient chaque tiroir permet d’en tirer l’essentiel : une compréhension, une forme de sagesse.
Ce processus, on l’appelle souvent "travail sur soi".
Mais au fond, on ne travaille pas sur soi. On se rencontre.

Se rencontrer avec honnêteté.
Prendre le temps d’assimiler l’expérience, de digérer l’émotion, d’accepter ce qui est.
Pas pour se corriger ou se transformer à tout prix, mais pour se comprendre plus profondément.

Une fin ? Ou une nouvelle conscience de soi ?

Le neuf ne serait donc pas une fin en soi, mais peut-être la fin d’une illusion,
celle d’un soi figé, d’une vision limitée de ce que nous sommes.
Une fin de perception partielle, enrichie d’un nouveau regard.

Ce 9 décembre devient alors un temps d'intégration,
un moment pour faire le lien entre ce qui a été vécu et ce qui est en train d’émerger.
Un espace intime pour grandir, en profondeur, à partir de ce qui a été traversé.

Page après page, une histoire vivante

Chaque cycle clos nous laisse plus riches de nous-mêmes.
Plutôt que de tourner la page, pourquoi ne pas l’écrire consciemment ?
Page après page, continuellement, avec tout ce qui nous compose : les ombres, les compréhensions, les liens, les erreurs, les élans…

En ce 9 décembre, je nous souhaite une histoire vivante, cohérente, riche de tout ce qui la précède.
Une histoire à poursuivre, pleinement, avec le cœur grand ouvert.


Envie de mieux vous rencontrer vous-même ?

Je vous accompagne en séance d’hypnose pour prendre ce temps de présence à vous, pour intégrer ce qui a été vécu, en faire une force, et avancer avec plus de clarté.

Pour réserver une séance, appelez le 07 69 93 33 18.
Séances disponibles au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême (Charente) ou à distance.

dimanche 8 décembre 2024

Les Montagnes Russes de la Vie : Trouver l’Équilibre au Milieu du Chaos

Une métaphore qui nous ressemble tant

Des hauts, des bas, des virages imprévus, la tête à l’envers…
Les grands huit des fêtes foraines racontent, à leur manière, l’histoire de nos vies.

Certains montent avec enthousiasme, d’autres hésitent.
On y croise des moments de solitude, de complicité, des éclats de rire ou des cris d’angoisse.
Le tour démarre dans l’euphorie ou l’appréhension, puis s’achève souvent trop vite, laissant place à l’étourdissement… avant que d’autres montent à leur tour.

Une aventure intérieure, partagée par tous

Que reste-t-il de ces expériences ?
Des émotions fortes. Des souvenirs ancrés.
Et cette impression d’avoir vécu quelque chose d’intense, de vivant, qu’on l’ait aimé ou non.

Les montagnes russes, c’est un ruban de fer tordu, formant une boucle chaotique, mais rythmée.
Des moments pour souffler, d’autres pour plonger.
Des surprises, des attentes, et cette sensation permanente d’être emporté par quelque chose de plus grand que soi.

Comment traverser ces mouvements ?

Certains gardent les yeux ouverts, d’autres les ferment.
On lève les bras pour ressentir la vitesse, ou on reste crispé pour ne pas se heurter.
Faut-il regarder devant ? Se fixer sur un point passé ? Fermer les yeux et sentir que, malgré le chaos extérieur, quelque chose reste stable en nous ?

Il n’y a pas de bonne façon.
Chacun s’adapte à sa manière, tente de compenser les pressions, d’amortir les chocs.
Ce qui compte, c’est de trouver son propre équilibre, même temporaire, même fragile.


Retrouver l'harmonie au cœur du mouvement

Dans le tumulte du manège, entre les virages, il y a parfois une sensation rare : celle d’une forme d’harmonie.
Pas une stabilité figée, mais un équilibre en mouvement, ajusté à chaque instant.

En ce 8 décembre, je nous souhaite cette souplesse intérieure,
celle qui permet, malgré les soubresauts, de garder le sourire à la fin du tour.


Envie de retrouver votre propre point d’équilibre ?

Vous traversez une période mouvementée, ou souhaitez simplement vous reconnecter à vous-même ?
Je vous accompagne en séance d’hypnose pour retrouver l’ancrage nécessaire à votre équilibre intérieur.

Prenez rendez-vous au 07 69 93 33 18, à distance ou au cabinet ANIMA Hypnose sur Angoulême, en Charente.

samedi 7 décembre 2024

Le Pouvoir Symbolique du Sept : Vibrer en Harmonie avec le Monde

Le chiffre 7 : une résonance universelle

Quelle résonance profonde a ce chiffre : sept !
Il habite nos croyances, traverse les textes sacrés, résonne dans les traditions spirituelles et les mythes.
Je ne prétends pas explorer ici l'immensité symbolique de ce chiffre, mais force est de constater qu’il s’invite régulièrement dans mon quotidien… comme en ce moment même.

Sept notes pour une infinité de mélodies

Avez-vous pris le temps d’écouter la musique qui accompagne ce texte ?
Elle repose sur sept notes, et pourtant, de cette base restreinte sont nées toutes les musiques du monde, depuis la nuit des temps. Des styles, des rythmes, des cultures, des instruments différents… mais toujours les mêmes notes à l’origine.

Ces notes, simples vibrations, prennent vie au travers d’un instrument.
Et si nous étions, nous aussi, des instruments ?
Nos pensées, nos émotions, nos gestes seraient alors autant de notes composant notre propre mélodie.

Être un instrument dans l’orchestre du vivant

Une note isolée reste incomplète.
Un instrument seul peut jouer, mais c’est entouré des autres qu’il révèle pleinement sa beauté.

Dans un orchestre, même le plus discret des triangles devient essentiel. Il crée une harmonie, participe à une œuvre plus vaste.
Il en est de même pour nous : notre liberté d’être ne se réalise pleinement qu’en révélant notre singularité au sein d’un ensemble.

Cela peut être une famille, un groupe d’amis, une communauté, un pays… ou simplement l’environnement que nous habitons chaque jour.
C’est là que nous jouons notre partie, en cohérence avec les autres, en acceptant d’être à la fois uniques et interdépendants.

Les dissonances : des portes vers une nouvelle harmonie

La beauté d’une œuvre musicale réside aussi dans ses contrastes.
Les dissonances, les silences, les ruptures… créent des tensions qui rendent l’harmonie plus vibrante.
C’est dans ce désordre apparent que se cachent des merveilles, à condition d’oser écouter vraiment.

En ce 7 décembre, je suis invitée à écouter les sept notes de mon univers.
À tendre l’oreille aux silences, aux écarts, aux émotions dissonantes aussi.
Et à jouer, du mieux que je peux, ma propre partition, au sein de l’orchestre du monde.

Que nos pensées, nos ressentis et nos gestes puissent vibrer à l’unisson d’une œuvre plus vaste, plus juste, plus vivante.


Pour aller plus loin…

Vous souhaitez mieux vous accorder à votre propre mélodie intérieure ?
Je vous accompagne en séance d’hypnose pour vous reconnecter à votre singularité et avancer en harmonie.

Prenez rendez-vous au 07 69 93 33 18, pour une séance à distance ou au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême, en Charente.



vendredi 6 décembre 2024

6 décembre : à la recherche de l’harmonie dans les détails du quotidien

Une date, une résonance : 6/12/24

"Que vais-je écrire aujourd’hui ?"
Parfois, une simple date devient un point d’ancrage. Le 6 décembre 2024 — 6/12/24 — fait résonner quelque chose d’intime. Chaque nombre semble dialoguer avec l’autre, porte sa moitié, propulse son double, évoquant un élan de croissance, une dynamique irrésistible.

Je m’émerveille de ces signes infimes que la vie dépose sur notre route. Ils n’expliquent pas tout, bien sûr. Mais ils ouvrent des brèches de beauté, de poésie, et souvent, de sens.
Ce sont ces harmonies discrètes, ces lois universelles tapies dans le banal, qui m’émeuvent profondément.

S’émerveiller, même dans la noirceur des jours

Non, la vie ne se résume pas à la beauté d’une combinaison de chiffres.
Mais y être sensible, c’est déjà ouvrir la porte à d’autres possibles.
Comme l’écrivait Jacques Prévert :

"La poésie, c’est le plus joli surnom que l’on donne à la vie."

Cette capacité à s’émerveiller, même dans la simplicité d’une date, n’est pas naïveté. C’est un acte de résistance sensible.

Voir la lumière dans l’ombre : un équilibre précieux

Dans mon activité, j’écoute les blessures.
Je recueille les peurs, j’accueille les colères, les pertes, l’effroi.
Mais je suis aussi témoin de renaissances.
Je vois le déploiement, le génie intime de chacun, l’éclat de ce qui cherche à se dire.
Et cela me convainc :

Dans chaque chaos, une lumière cherche à naître.

Le chiffre 6, dans la symbolique de ce jour, évoque l’harmonie, la justesse, l’équilibre.
Il me rappelle qu’au cœur même des déséquilibres, une force de vie est à l’œuvre.

Choisir de voir les balises lumineuses

Comme les graines dispersées aux quatre vents (voir l'article du 4 décembre), chaque petit signe, chaque instant d’émerveillement est une balise de croissance.
Un appel discret à cultiver notre propre lumière, même — et surtout — dans les jours sombres.

La sensibilité n’est pas faiblesse. Elle est un tremplin vers la vie.

Vous sentez-vous prêt à retrouver votre lumière intérieure ?

Je vous accompagne dans ce chemin d’exploration et d’équilibre.
Séances au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême, en Charente, ou à distance selon vos besoins. Contact : 07 69 93 33 18

PS : La prochaine date de ce type ? Dans 980 ans, le 1er février 3004

jeudi 5 décembre 2024

Célébrer la quintessence : et si notre imperfection révélait notre perfection ?

L’homme de Vitruve : le symbole d’un équilibre parfait

L’homme de Vitruve, dessiné par Léonard de Vinci, inscrit le corps humain dans un cercle et un carré. Quatre membres déployés, une tête orientée vers le ciel : l’esquisse forme une étoile à cinq branches, une représentation géométrique de l’harmonie humaine.

De Vinci s'appuie sur le nombre d'or, la géométrie sacrée, les proportions, pour traduire la quintessence du corps humain. Ce dessin est si puissant qu’il a inspiré la NASA pour la plaque de Pioneer, censée représenter l’humanité auprès d'une intelligence extraterrestre.
Un message de forme parfaite... mais d’origine imparfaite.

Un paradoxe fécond : l’imperfection au cœur de la création

Et pourtant, Léonard de Vinci lui-même n’entrait pas dans les proportions idéales qu’il a dessinées. Ce paradoxe est précieux : une imperfection humaine a donné naissance à une œuvre parfaite.

Cela nous amène à une réflexion profonde :

La perfection ne se trouve pas nécessairement dans le résultat, mais dans l’intention, dans l’élan créateur.

L’esprit de Léonard brille. Comme une étoile à cinq branches. Sa main, composée de cinq doigts — comme la vôtre, comme la mienne — porte l’imaginaire dans le réel. Elle peut tracer, façonner, créer… ou détruire.
Le chiffre cinq devient alors l’union symbolique entre le corps et l’esprit, entre l’idée et l’action.

La perfection existe-t-elle ?

À travers cette œuvre, Léonard nous offre un miroir.
Un regard sur l’idéal, mais aussi sur l’humilité de celui qui sait qu’il ne l’incarne pas.

Peut-on vraiment définir la perfection, si elle naît d’une imperfection ?

Peut-être que la perfection réside justement dans l’acceptation du chaos, du décalage, de la nuance.

Le 5 décembre : honorer la quintessence de l’être

Ce cinq décembre, je nous invite à célébrer la quintessence.
La nôtre. Celle de nos cinq sens, de nos cinq doigts, des cinq éléments qui composent l’univers.

Et plus encore, à accueillir notre imperfection comme la seule porte d’entrée vers une forme d’absolu.
C’est dans ce qui dévie que naît parfois la beauté.
C’est dans ce qui dépasse que se cache la lumière.

Vous souhaitez explorer vos paradoxes et faire émerger votre quintessence ?

Je vous accompagne avec douceur dans ce chemin vers vous-même.
Prenez rendez-vous pour une séance au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême ou à distance.
📞 Contact : 07 69 93 33 18

mercredi 4 décembre 2024

Semer aux quatre vents : la sagesse de la dispersion

L’enseignement du sage : semer, c’est faire confiance à la vie

Chaque printemps, un sage, grand connaisseur des plantes et des cycles de la nature, rassemblait les villageois pour leur transmettre une vérité simple :
« Chaque graine contient le potentiel d’un monde. En les dispersant, nous offrons à la vie l’espace de s’épanouir. »

Les villageois, portés par cette sagesse, éparpillaient leurs semences aux quatre coins des champs, le cœur empli d’espoir. Et, chaque année, la nature répondait généreusement : fleurs en abondance, arbres fruitiers chargés, récoltes florissantes.

Quand le contrôle s’oppose à la sagesse

Un jour, un jeune homme, se disant pragmatique, remit en question cette méthode.

« Pourquoi disperser ? Ne vaudrait-il pas mieux planter en rangs serrés pour optimiser la récolte ? »

Le sage répondit avec calme :

« L’ordre parfait est une illusion. La nature est un chaos ordonné. Chercher à tout maîtriser, c’est risquer d’étouffer la vie. »

L’expérience du doute : quand l’ordre vacille

Le jeune homme, curieux, décida d’expérimenter.
Il sema une moitié de ses graines bien rangées, l’autre dispersée au hasard.

Au départ, les semis ordonnés grandirent vite, droits. Mais bientôt, une maladie se déclara, se propageant sans peine d’une plante à l’autre.
À l’inverse, les graines dispersées furent épargnées.
La diversité les avait protégées.

Il comprit alors la leçon du sage :

La vie ne se résume pas à l’ordre. Elle puise sa force dans la diversité, le mouvement, l’imprévisible.

Le 4 décembre : semer au vent, semer avec le cœur

En ce 4 décembre, je nous souhaite ceci :
Que chacun puisse disperser les graines de son cœur, sans crainte.
Qu’il s’agisse d’idées, d’élans, d’élans d’amour ou de projets, osons semer au vent, sans tout vouloir maîtriser.
Car c’est là que réside la force de la vie, dans ce qui nous échappe autant que dans ce qui germe.

Vous sentez que vous avez besoin d’accompagnement pour semer à votre tour ?

Je vous propose un espace d’écoute et d’élan, pour accompagner ce qui cherche à naître en vous.
Séances au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême, en Charente, ou à distanceContact : 07 69 93 33 18

mardi 3 décembre 2024

Révéler sa lumière intérieure, oser rayonner

À trois, tout commence

Un, deux… trois !
Coup de départ, jaillissement, élévation.
Le trois décembre réveille quelque chose d’intime : un feu sacré, un désir profond de mise au monde.
Et si c’était l’instant d’oser, d’offrir au monde ce qui nous anime, sans retenue ?

Le chiffre trois : entre impulsion, union et naissance

Le trois est plus qu’un chiffre, c’est une alchimie.
Celle de l’impulsion du un, de l’union du deux, qui ensemble donnent naissance à une force nouvelle.

Ce chiffre sacré porte en lui une dynamique de création.
Un projet, une idée, une facette de soi, quelque chose cherche à naître, à se montrer, à rayonner.

Quelle serait cette part de vous qui n’attend qu’un geste pour s’élancer ?

La naissance d’un élan vital

Et si vous n’aviez plus le choix ?
Si la vie vous plaçait face à vous-même, sans échappatoire, simplement un pas à faire, vers l’avant ?
Quel trésor intérieur jaillirait alors ?
Le trois nous parle de cette nécessité : mettre au monde ce que l’on porte.

Il ne s’agit pas d’une démonstration spectaculaire.
Mais d’un mouvement vrai, profond, aligné.
Une expression, un partage vivant de ce qui nous rend lumineux.

Trois, le chiffre de l’équilibre stable

Avec trois pieds, un tabouret tient debout.
Trois, c’est la stabilité née de la dynamique.
C’est ce troisième appui qui permet l’assise, le repos, la paix intérieure.

Lorsque je m’autorise à exprimer ce qui m’anime, je deviens aligné.
Ma vie prend sens, mes choix s’éclairent, ma présence se pose.

3 décembre : une invitation à rayonner

Aujourd’hui, 3 décembre, je vous invite à vous poser cette question :

Que puis-je laisser s’exprimer de moi pour rayonner pleinement ?

Et si, en donnant vie à votre feu intérieur, vous contribuiez à réchauffer le monde autour de vous ?

Je vous souhaite de belles révélations, et que votre lumière éclaire notre humanité.

Besoin d’un accompagnement pour oser rayonner ?

Je vous accompagne pour faire émerger ce qui sommeille en vous, en toute bienveillance.
En cabinet à ANIMA Hypnose à Angoulême ou à distance, avançons ensemble vers votre lumière intérieure - 07 69 93 33 18

lundi 2 décembre 2024

Le 2 décembre : danser avec ses paradoxes intérieurs

Le deux : une note d’élégance dans un monde rugueux

Quelques grammes de finesse dans un monde rugueux. Une harpe légère au milieu d’un orchestre de cuivres.
Le chiffre deux, ici, évoque la dualité : celle d’un dialogue permanent entre puissance et subtilité, force et délicatesse.

À l’image du pas de deux, cette danse suspendue entre deux corps, deux souffles, deux rythmes.
L’union d’un prince et d’une fée, d’un mouvement et de sa réponse, dans un équilibre toujours fragile. Une danse de l’accord, une offrande de beauté dans un monde trop souvent assourdissant.

Le paradoxe du deux : chaos et dentelle

Le deux me fait penser à Tchaïkovski. À Casse-Noisette. À la grâce qui surgit dans la complexité.
Si la dentelle avait un son, elle serait faite de ces harmonies russes, puissantes et raffinées.

Quel contraste saisissant entre la rugosité du monde et cette élégance chorégraphiée.
Et pourtant, ce paradoxe n’est pas si éloigné de ce que nous portons : nous sommes faits de contradictions.
De tensions intérieures, de tiraillements entre l’élan et la retenue, la force et la douceur.

Faire danser nos contradictions, plutôt que les fuir

Je suis tout entier fait de deux :
Deux parts de moi, parfois en désaccord, parfois en friction. L’une cherche à dominer, l’autre à disparaître.

Mais si je me bats contre moi-même, qui gagne, au juste ?
Le deux m’invite à une autre voie : celle de l’acceptation, non de la soumission, mais d’une reconnaissance lucide.

Accueillir la colère comme on accueille la tendresse. Reconnaître le doute comme on reconnaît la foi.
Non pour entretenir la guerre, mais pour ouvrir un espace de dialogue intérieur, où chaque partie a sa place.

Le deux, comme un appel à la paix intérieure

Et si le deux décembre devenait le jour où vous transformez vos opposés en partenaires ?
Ce deux ne serait plus un combat, mais un pas de danse.
Un moment suspendu, où chaque part de vous-même se sent vue, entendue, intégrée.

Car c’est en cessant de désigner nos parties sombres comme ennemies qu’elles cessent de crier.
Et dans ce silence apaisé, quelque chose de fin, d’élégant, peut alors émerger.
Rien de plus, rien de moins.

En ce deux décembre, je vous souhaite de rencontrer de beaux partenaires intérieurs.
Et pourquoi pas, de les faire danser ensemble.

Envie de vous réconcilier avec vous-même ?

Je vous accompagne pour trouver l’harmonie intérieure, accueillir vos paradoxes et cheminer vers plus de clarté. Contactez-moi au 07 69 93 33 18 pour une séance au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême ou à distance, à votre rythme.

Ce que nos vêtements révèlent de nous : du soulier d’enfant à l’uniforme d’hypnothérapeute

Une paire de chaussures pour aller plus vite Quand j’étais enfant, j’avais des chaussures qui me faisaient courir plus vite. Des Gépy. Seme...