Le plaisir retrouvé de se lever chaque matin... ANIMA Hypnose & Coaching

lundi 23 décembre 2024

Quand l’absence devient lumière : hommage à ceux qui vivent en nous

La mémoire d’un être cher

Ce matin, mes pensées vont vers mon grand-père. Il est né un 23, au tout début du siècle dernier. Un homme d’une générosité rare, sans doute la plus belle âme que j’aie croisée. Il est parti depuis longtemps, mais son souvenir reste vif. Je revois son rire, sa voix, sa peau, ses gestes familiers. Il me manque. J’aimerais pouvoir le serrer dans mes bras, ne serait-ce qu’une fois encore.

Non, je ne suis pas triste. Mais parfois, je ressens physiquement son absence. Comme un vide qui pèse sur le corps. Et dans ce creux-là, quelque chose apparaît.

Absence et présence : les deux faces d’un même lien

Évoquer une absence, c’est en convoquer la présence. Chaque fois que le manque me traverse, l’autre revit en moi. Par le souvenir, par l’émotion, par la mémoire sensorielle. Il y a une forme de présence dans le manque. Comme deux faces d’une même pièce. Héraclite le disait déjà : les contraires s’appellent. L’absence appelle la présence, l’ombre révèle la lumière.

Et aujourd’hui, je ressens surtout de la douceur. Ce sont des éclats d’amour qui demeurent. Des traces précieuses que je garde comme un écrin. Être témoin de leur existence, c’est porter en soi quelque chose d’eux. Une lumière intérieure, fragile et puissante à la fois.

La lumière de ceux qui ne sont plus là

Je me sens honoré d’avoir croisé leur chemin. Chacun d’eux m’a transformé, éclairé. Ils continuent de m’accompagner. Même absents, ils me révèlent encore à ce que je suis. Ils m’aident à maintenir ce fragile équilibre qu’est la vie.

Et je sais que je ne suis pas seul à ressentir cela. En cette période de fin d’année, les absents se font souvent très présents. Parfois cruellement. Les "partis trop tôt", les silences à table, les regards qui cherchent et ne trouvent plus.

Honorer les liens invisibles

Alors en ce 23 décembre, je nous souhaite à tous de nous reconnecter à ces présences invisibles. Non pas dans la douleur, mais dans la tendresse. Que ces lumières que nous portons en nous puissent réchauffer nos cœurs et éclairer nos chemins. Même au milieu des festivités, même dans la joie.

Ce sont des présences vivantes, lumineuses, et précieuses. Haut les cœurs.

Besoin d’un espace pour déposer, honorer ou se recentrer ?

Je vous accompagne au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême (Charente), ou à distance.
Pour réserver une séance : 07 69 93 33 18.

dimanche 22 décembre 2024

La vie a-t-elle un sens ?

Quand un film d’animation touche à l’essentiel

C’est assez rare pour être noté : j’ai récemment regardé un film d’animation, Soul des studios Pixar. L’histoire d’un professeur de musique, passionné de jazz, qui attend désespérément de vivre enfin "sa vraie vie". Il est convaincu que son bonheur repose sur cette vocation tant rêvée. Mais le destin – ou la vie – va lui jouer quelques tours.

Entre aventures rocambolesques, réflexions spirituelles légères et bandes son jazzy, ce film m’a touché. Notamment sur ce point précis : ce besoin profond que l’on peut avoir de donner un sens à sa vie. Trouver sa mission, sa voie, son idéal. Comme si notre existence n'était valable qu’à condition d’y parvenir.

Trouver un sens à sa vie : quête ou piège ?

C’est une question que je rencontre souvent dans mes accompagnements : "Quel est le sens de ma vie ?"
Certains cherchent avec intensité, parfois avec désespoir. D’autres pensent l’avoir trouvé, et l’érigent en vérité absolue. Et puis, il y a ceux pour qui cette quête devient douloureuse. Elle crée une pression immense. Un idéal à atteindre, un but parfois flou, souvent inaccessible, mais vécu comme une condition sine qua non du bonheur.

Dans cette logique, il faudrait attendre d’avoir trouvé le sens pour pouvoir enfin se sentir vivant. Et en attendant ? On retient son souffle. On se juge. On se fige. On se croit en échec. C’est une mécanique bien cruelle, car elle nous éloigne du vivant. Du simple fait d’être.

Une autre façon de vivre le sens

Quelque part, dans un livre dont j’ai oublié le nom, un auteur proposait une métaphore pleine de douceur. Il suggérait d’imaginer le sens de la vie non pas comme un objectif à atteindre, mais comme un spray. Un diffuseur qui envoie partout, autour de nous, des gouttelettes de sens.

Pas un seul sens. Du sens, en dispersion. Partout, tout le temps. Dans les gestes simples, les relations, les instants présents. Cette image m’a marquée. Elle fait écho au message du personnage "22" dans le film Soul, cette âme en quête de ce petit je-ne-sais-quoi pour s’incarner. Ce rappel que le vivant est déjà là, dans la vie elle-même.

Et si on cessait de chercher ?

En ce 22 décembre, je nous souhaite de cesser de remettre à demain ce qui pourrait nous rendre vivant maintenant. De ne plus attendre un idéal, mais d’accueillir les instants, tels qu’ils sont. D’inspirer chaque goutte du présent comme un sens en soi.

Le sens n’est peut-être pas à trouver. Il est à vivre.

Vous sentez-vous parfois perdu face à cette quête de sens ?

Je vous accompagne avec bienveillance pour vous reconnecter à ce qui est déjà là, à ce qui vibre en vous.
Séances au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême (Charente) ou à distance.
Réservez votre séance au 07 69 93 33 18.

samedi 21 décembre 2024

Quel est le poids d’une vie ?

Ces instants où tout bascule

Vous souvenez-vous du film 21 grammes avec Sean Penn ? Ce film qui entremêle des vies bouleversées par un événement tragique. Je ne l’ai pas revu depuis longtemps, mais il a sans doute nourri certains de mes textes.

Il interroge profondément : qu’est-ce qui fait le poids d’une existence ? Ces moments de bascule, ces points de rupture qui marquent un avant et un après dans une vie. Nous en avons tous connu. Ils peuvent surgir dans la douleur comme dans la beauté. Ils nous transforment, parfois en silence, parfois dans un fracas.

Le poids d’une décision… ou d’un simple retard

Les moments décisifs ne sont pas toujours spectaculaires. Il y a ceux que l’on reconnaît instantanément – accidents, choix cruciaux, rencontres bouleversantes. Et puis, il y a ceux que l’on découvre après coup : un retard qui évite un drame, un oui ou un non anodin qui crée une cascade de conséquences.

Chaque instant porte en lui le potentiel d’un basculement. Une vie est faite d’un enchevêtrement de décisions, de non-décisions, de hasards heureux ou tragiques. Elle est dense. Dense de ressentis, de tournants imprévus, de confrontations et d’évitements, de chemins qui bifurquent sans prévenir.

Au cœur du chaos, notre capacité à vivre

Et au milieu de tout cela : nous. Essayant de tenir debout. De faire avec. De faire au mieux.

Et pourtant, même dans ce désordre apparent, il y a de la lumière. Il y a des élans de joie, des fous rires partagés, des gestes tendres, un regard qui touche, une musique qui éveille, une rencontre qui réanime. Tomber amoureux, sentir en soi un élan, une force, une liberté.

La vie passe partout, tout le temps. Elle est mouvement, elle est transition. Elle est ce qui palpite en nous, même dans les silences, même dans les creux.

Combien pèse une vie ?

Difficile à dire. Peut-être autant que ce qui a été vécu… et ce qui ne l’a pas été. Ce qu’on a choisi, ce qu’on a évité, ce qu’on a laissé passer.

Je n’ai pas de calculatrice assez puissante pour évaluer ce poids. Alors ici et maintenant, je choisis de m’attarder sur ce que je peux : l’intensité d’un instant. Ressentir, accueillir, vivre. Pleinement.

Une invitation à la présence

En ce 21 décembre, je nous souhaite une connexion intense et légère à chacun de nos instants. Car c’est peut-être là, dans cette attention, que réside le vrai poids de la vie.

Et si vous ressentiez le besoin de déposer, d’éclaircir, ou d’explorer ce qui pèse ou ce qui appelle en vous ?

Je vous accueille au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême (Charente) ou à distance, avec bienveillance.
Réservez votre séance au 07 69 93 33 18.

vendredi 20 décembre 2024

Se libérer du pouvoir de la note : un retour à l’essentiel

Des bons points à l’amour-propre : le poids de l’évaluation

Tout petit déjà, chaque bonne action me rapportait un bon point. Une récompense symbolique, qui, cumulée, se transformait en image colorée. Le Graal de l’enfance.

Puis vinrent les notes. Chiffrées, codifiées, elles remplaçaient les images pour évaluer la qualité de mes efforts. À la maison, une bonne note valait une félicitation, une mauvaise… une sortie annulée.

Et ce système, je ne l’ai pas quitté en grandissant. Comme beaucoup d’entre nous, j’ai continué à évoluer dans une société fondée sur l’évaluation constante.

De la salle de classe à la vie d’adulte : les nouvelles formes de notation

Avec le temps, les notes ont changé de forme.
Elles sont devenues salaire, statut social, nombre d’amis, mètres carrés, qualité de vêtement ou de téléphone, destinations de voyage.

À chaque étape, quelque chose d’extérieur semblait mesurer ma valeur. Et bien souvent, ma confiance en moi en dépendait.

Aujourd’hui encore, à la maison, les notes de mes enfants influencent parfois la légèreté des échanges. Il m’arrive de plaisanter plus facilement quand leurs résultats sont bons. Sinon… la tension monte, subtilement. Les anciens schémas sont tenaces.

Vers un autre regard : créer pour la joie, non pour être noté

Mais voilà : je ne veux plus laisser les notes dicter mon état intérieur.

Je choisis, autant que possible, de créer par plaisir. D’écrire, de partager, de faire ce qui m’anime. Ces posts en sont le reflet. Ce sont des élans sincères, libres. J’ai compris qu’aucune note, aucun chiffre, ne pourra jamais me résumer.

Alors oui, c’est un soulagement. Une sensation de liberté. Un retour à ce qui est vrai.

...Mais l’ego veille toujours

Sauf que… soyons honnêtes.

Il m’arrive encore de regarder le nombre de likes. D’attendre un retour. De guetter une validation. Le vieux réflexe de la note n’est jamais bien loin.

Le chemin vers la liberté intérieure est un processus. Pas à pas, on apprend à se recentrer, à s’en détacher, à se nourrir autrement.

En ce 20 décembre : s’affranchir de la note pour cultiver la joie

Ce 20 décembre, je nous souhaite de nous délester du poids des évaluations. De revenir à la source. À ce qui nous fait vibrer.

Que nos élans ne soient plus conditionnés par une note, mais inspirés par ce qui nous met en joie.

Envie de vous reconnecter à ce qui vous anime profondément ?

Je vous accompagne en hypnose, en douceur, pour explorer ce qui vous limite encore, et libérer ce qui vous rend vivant.

Réservez votre séance au 07 69 93 33 18, au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême ou à distance.
Votre valeur n’est pas à prouver, elle est à vivre.

jeudi 19 décembre 2024

L’éternel recommencement : cycles de vie, d’évolution et de transformation

Recommencer : une boucle qui n’est jamais vraiment fermée

« La boucle est bouclée. » « Retour à la case départ. »
Autant d'expressions qui disent ce que nous ressentons souvent : le sentiment de revivre, encore et encore, certaines expériences, comme si la vie avançait en spirales.

Mais ces spirales ne sont pas des retours en arrière. Elles portent en elles l’élan d’une évolution profonde, même si elle ne se manifeste pas toujours dans l’instant. Le sens, lui, se révèle à l’échelle d’une vie.

Une transformation constante, parfois douce, parfois brutale

Certaines évolutions se font en douceur, dans des ajustements subtils. D'autres surgissent comme des cataclysmes intimes.
Mais dans tous les cas, nous sommes invités à apprendre, comprendre, intégrer, souvent au fil des cycles que nous traversons.

Combien de fois nous sommes-nous promis de « retenir la leçon cette fois-ci » ? Et pourtant, l’expérience revient. Sous une autre forme. Pour nous permettre d’aller plus loin.

Corps, pensées, émotions : un mouvement perpétuel

Nos corps se régénèrent. Nos pensées se renouvellent. Nos émotions nous traversent. Chaque rencontre, chaque épreuve, chaque joie vient enrichir notre paysage intérieur.
Nous grandissons malgré nous, au gré des cycles invisibles de la vie.

Même nos erreurs se répètent, avec leurs parts d’orgueil, de pulsions, de peurs. Les conflits naissent, se rejouent. À petite ou grande échelle.

Mais au cœur de ce chaos apparent, il y a aussi cette force de vie, cette capacité à retrouver le goût d’aimer, à reconstruire un équilibre là où tout semblait détruit.

Le 19 décembre : une invitation à observer et célébrer

Ce jour du 19 nous rappelle que chaque fin contient un début. Que même dans la noirceur, une lumière peut naître.
Souvent invisible au départ, cette force nous transforme. Elle échappe à notre volonté, mais nous pousse à évoluer.

Nous ne savons pas toujours où elle nous mène, cette énergie vitale. Mais elle nous appelle à aller plus loin, à nous dépasser.

Honorer les cycles et faire confiance au mouvement

En ce 19 décembre, je nous souhaite de regarder notre chemin avec gratitude. D’accueillir autant les ruptures que les renaissances, les fins que les recommencements.

C’est ce mouvement, cette évolution permanente, qui fait la richesse de nos vies.

Et si vous preniez un temps pour écouter vos cycles intérieurs ?

Je vous accompagne en séance d’hypnose au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême, ou à distance. Appelez-moi au 07 69 93 33 18 pour réserver votre séance.

Faites un pas dans la conscience de vos propres cycles d’évolution.

mercredi 18 décembre 2024

Les transitions du quotidien : ces instants où nous changeons de peau

18 heures : le moment du basculement

18 heures. Une sonnerie, une vibration dans l’air, et tout bascule. C’est l’heure des transitions, un passage subtil mais puissant d’un monde à un autre.

Je regarde ces longues files de voitures, ces silhouettes pressées. Chacun quitte un rôle – celui du travailleur – pour en endosser un autre : sportif du soir, parent attentif, compagnon aimant. À 18 heures, un nouvel état d’être prend le relais.

Et bien sûr, je suis de ceux-là, moi aussi.

Ces moments où l’on change de peau

Il existe mille autres transitions. Vous voyez ? Ce soir où les vacances commencent enfin. L’attitude change. On balance ses chaussures dans un coin, on dénoue la cravate sans ménagement. Le corps s’allège, l’esprit aussi.

Le matin aussi, tout bascule. Encore en pyjama il y a quelques instants, nous voilà déjà au bureau, frais ou presque, posture droite et visage prêt à affronter le jour.

Sommes-nous les mêmes… ou plusieurs à la fois ?

Alors, qui sommes-nous vraiment ? Sommes-nous les mêmes avec nos collègues, qu’avec notre boulanger ou nos enfants ? Oui… et non.

Certains parleront de rôles sociaux. D’autres évoquent des masques. Pour ma part, j’y vois des expressions riches et multiples de soi. Chacune juste, chacune authentique à sa façon.

Nous changeons d’énergie, de langage, de regard. Un peu comme Hulk devenant tout vert en un éclair ou comme Mr Hyde retournant à Dr Jekyll.

La liberté d’être tout et son contraire

Ce que j’aime dans cette multiplicité, c’est la liberté qu’elle donne. Refuser les étiquettes, les définitions rigides. Être cela, et autre chose. Défauts, qualités… tout cela cohabite, évolue, se nuance.

Nous sommes mouvants, en constante redéfinition. Et c’est tant mieux.

Se relier à ce qui nous traverse

En ce 18 décembre, je nous souhaite de renouer avec cette part souple et sage en nous, celle qui observe, ressent, et laisse chaque facette s’exprimer librement. Elle ne juge pas, elle laisse faire. Elle fait place à tous nos personnages intérieurs.

Haut les cœurs, et vive cette richesse-là.

Envie d’explorer vos multiples facettes en toute liberté ?

Je vous accompagne en douceur avec des séances d’hypnose sur mesure, au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême, ou à distance.

Appelez-moi au 07 69 93 33 18 pour réserver votre séance.
Faites de vos transitions des points d’appui vers plus de cohérence et de liberté intérieure.

mardi 17 décembre 2024

Entre deux eaux : la part d’adolescence qui nous accompagne

L’adolescence : ce territoire fragile et conquérant

Je croise chaque jour des adolescents. Au cabinet, dans la rue, dans les familles… Ils sont partout, visibles et pourtant insaisissables. Une démarche hésitante, une attitude fière, des silences profonds, des rires francs. Des êtres en mutation, entre deux âges, entre deux mondes.

Ils ne sont plus tout à fait enfants, pas encore adultes. Ils avancent, fragiles et conquérants à la fois, dans cet espace si particulier du devenir.

Une question d’âge… ou de perception ?

Quand on me demande mon âge – ce qui arrive de moins en moins, sans doute par politesse – je me surprends parfois à hésiter. Entre 17 ans et l’éternité. Un écart étrange, un ressenti flou.

Il y a en moi l’élan du jeune, l’enthousiasme parfois naïf, mais aussi la lucidité du vieux briscard. Et parfois l’inverse. Tout cela coexiste, dans un même souffle, un même instant.

Les chiffres ? Ils se bousculent. Je ne suis pas plus 80 ans que je n’ai été 17 ans. Mais il me semble que cela fait de plus en plus longtemps que j’ai 17 ans. Un âge qui persiste, comme une empreinte vivante. On s’y perd, peut-être… mais c’est une perte joyeuse.

Entre deux eaux : une navigation permanente

Je me sens toujours adolescent. En devenir. En tension. Pas celui d’hier, pas encore celui de demain. Un être mouvant, en construction permanente.

J’avance ainsi : à la fois agile et maladroit, sensible et affirmé, curieux du chemin, même quand je ne le maîtrise pas. Naviguant à vue, entre deux eaux.

J’aime cette image : une vie qui se construit sans mode d’emploi, à partir du pas posé, de l’événement traversé. Une évolution qui échappe à toute ligne droite, et c’est très bien ainsi.

Rester adolescent quelque part en soi

Ce 17 décembre, je nous souhaite de renouer avec cette part adolescente, vivante, mouvante, pleine de possibles. Cette part de nous qui doute mais qui avance, qui cherche sans toujours savoir, qui invente.

Et si ce n’était pas un âge à quitter, mais un espace à garder vivant en soi ?

Besoin d’un espace pour retrouver votre élan intérieur ?

Je vous accompagne avec bienveillance, en séance d’hypnose au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême, ou à distance selon votre besoin.

Appelez-moi au 07 69 93 33 18 pour réserver votre séance.
Faisons de cette traversée un chemin éclairé.

Ce que nos vêtements révèlent de nous : du soulier d’enfant à l’uniforme d’hypnothérapeute

Une paire de chaussures pour aller plus vite Quand j’étais enfant, j’avais des chaussures qui me faisaient courir plus vite. Des Gépy. Seme...