Vaincre le syndrome de la page blanche

Quand les mots ne viennent pas... et que l'on écrit quand même

Savez-vous comment je commence un article ? En vérité, je ne sais jamais ce que je vais écrire avant d’avoir posé les premiers mots. Je me lance. Sans plan, sans certitude. J’avance, guidé uniquement par cette intention : offrir un regard différent sur les souffrances et les questionnements qui nous traversent.

Chaque fois, c’est la même chose : je suis face à cette fameuse page blanche. Rien. Pas de sujet, pas de ligne directrice. Juste une envie profonde de partager.

Et pourtant, malgré cette sensation de vide, j’écris. Parce que je sais que le véritable blocage n’est pas dans la page, mais en moi.

Le syndrome de la page blanche : un prétexte fertile

Ce syndrome, je le vis depuis plus de dix ans. Depuis mes premiers textes sur le développement personnel (notamment sur le blog Haut les Cœurs !!!).

2000 articles plus tard, je suis toujours fébrile au moment d’écrire. Et c’est très bien ainsi.

Quand les idées ne viennent pas, je respire. Je me lance avec ce qui vient. Peu importe ce que c’est. Parce que l’important, c’est de créer du mouvement.

Agir sans sur-contrôle : un relâchement actif

Dans ma vie comme dans mes accompagnements, je ne contrôle pas tout. Ce n’est pas de l’improvisation, c’est un relâchement actif.

Je me nourris d’échanges, de lectures, de rencontres. Je me pose des questions. Beaucoup.

Pas pour trouver une vérité figée, mais pour créer une dynamique intérieure.

Et ces réflexions, je les laisse vivre, se mélanger, se transformer. Jusqu’au moment où l’une d’elles s’impose à moi. Alors, je l’attrape… et je la fais exister.

Penser, tester, incarner

Avoir des idées, c’est bien. Les appliquer, c’est mieux.

Je ne me contente pas de penser : j’expérimente. Sur moi, dans mes textes, dans mes choix.

Je me trompe. Je réussis. J’apprends. Et dans les deux cas, je progresse.

Voilà le cœur de ce que je vous invite à vivre : observer vos pensées, les nourrir, les faire grandir… puis les incarner.

L’hypnose pour relâcher et incarner

Vous avez mille idées, mais elles tournent en boucle ?

Vous sentez que vous pensez beaucoup… mais que peu de choses prennent forme concrètement ?

C’est peut-être le moment de relâcher la pression.

L’hypnose Ericksonienne est une approche douce, respectueuse de votre rythme, parfaitement adaptée à cette exploration intérieure. Elle vous permet d’ouvrir un espace pour accueillir, transformer et incarner vos ressources profondes.

Et si vous passiez de la pensée à l’action ?

Contactez-moi au 07 69 93 33 18 pour réserver votre séance d’hypnothérapie au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême (Charente), ou en séance à distance.

À très bientôt.