L’odeur de l’été : quand la nature s’imprime en nous
Quand les sens s’éveillent sous la chaleur
L’été décuple nos perceptions. Tendre les mains suffit pour sentir les couches d’air chaud et froid. La peau, hypersensible, capte chaque nuance de température. Les odeurs se multiplient, vibrantes, puissantes, jusqu’à saturer l’espace.
Et dans ce trop-plein, il y a aussi le silence. Aucun moteur, aucun bruit de tracteur. Le silence devient matière, presque palpable, et nous apprend à écouter autrement. Même l’air chaud se voit : des vagues transparentes ondulent au-dessus de l’asphalte, rendant l’horizon incertain.
Été et hiver : une même immobilité
Sous son excès, l’été rejoint l’hiver. L’un brûle, l’autre glace, mais tous deux imposent une torpeur qui fige l’espace et ralentit les ardeurs.
Un cours d’eau craquelé, vidé de sa vigueur, témoigne de cette force implacable. Les racines desséchées attendent une eau qui ne vient pas. L’été décrète et impose, mais il révèle aussi l’essentiel.
La leçon cachée de l’été
Car même dans l’hostile, la vie persiste. Derrière la poussière, dans un grain de sable ou une brindille sèche, un monde discret continue de foisonner. L’inamical se transforme en foyer, l’irrespirable en espace vivant.
L’été nous enseigne ainsi une vérité précieuse : la vie trouve toujours son chemin, même dans les interstices les plus arides.
Retrouver cette vitalité en soi
Comme la nature en été, nous pouvons traverser des périodes de sécheresse intérieure, de saturation ou de vide. L’hypnose aide à reconnecter à cette source discrète mais toujours vivante en nous.
Au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême (Charente) ou à distance, je vous accompagne à réactiver vos ressources intérieures et à retrouver souffle et équilibre.
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