Une étiquette bien difficile à décoller

Qui êtes-vous vraiment ? L’étiquette que l’on vous colle... ou ce que vous êtes au fond ?

Il n’y a pas si longtemps, en explorant des souvenirs familiaux, je suis tombé sur un vieux film Super 8 datant de 1974. La scène : un Noël chez mes grands-parents.

Sur l’écran, un petit garçon gesticule avec enthousiasme, se pavane devant la caméra, imite une star… Je me vois, moi, incarnant un personnage haut en couleur. Un vrai clown.

Quand l’image de soi se heurte au souvenir

En regardant ces images, tout est revenu : les visages, les voix, les odeurs, le meuble préféré de ma grand-mère… et cette énergie débordante que je déployais alors.

Pourtant, dans mes souvenirs, j’étais un enfant réservé. Et mes parents me décrivaient d’ailleurs comme un petit garçon calme, discret. Alors comment expliquer ce contraste ?

L’étiquette que l’on porte pour faire plaisir

Avec le recul, je comprends. Ce n’est pas que j’étais timide, c’est que mes parents me voulaient calme. Et, comme beaucoup d’enfants soucieux de plaire, j’ai inconsciemment adopté ce rôle.

J’ai endossé cette image qui n’était pas la mienne, une étiquette comportementale collée par amour, par besoin d’être accepté.

Ce n’est ni un drame, ni un traumatisme. Mais c’est révélateur de ce que je constate aussi dans mon cabinet d’hypnose à Angoulême : de nombreuses personnes vivent selon une image qu’on a projetée sur elles, une définition qui les limite, les freine, voire les fait souffrir.

Quelle étiquette portez-vous encore aujourd’hui ?

Et vous, que disaient vos proches à votre sujet ?

Comment vous ont-ils décrit enfant ? Étiez-vous « sensible », « dur à la tâche », « rêveur », « maladroit », « bon en maths mais pas littéraire » ?

Vous êtes-vous construit sur cette base ? Cette image vous sert-elle encore aujourd’hui… ou vous enferme-t-elle dans une case ?

Ce que l’on dit de l’enfant devient parfois sa prison

Et si vous avez des enfants, prenez un instant pour réfléchir : que dites-vous d’eux ?

Qu’ils sont calmes, turbulents, brillants, créatifs, paresseux… ?

Même avec les meilleures intentions, en les définissant ainsi, nous risquons de les enfermer dans une perception figée, dans une version d’eux-mêmes qui n’est pas toujours fidèle à ce qu’ils ressentent ou souhaitent devenir.

Retrouver votre identité profonde, au-delà des étiquettes

La bonne nouvelle, c’est que rien n’est figé.

Une séance d’hypnose, de PNL ou de thérapie brève peut vous aider à vous reconnecter à qui vous êtes réellement, à lever les freins construits au fil du temps et à redonner de l’espace à votre nature profonde.

Se libérer d’une étiquette, c’est s’autoriser à redevenir acteur de sa vie, à vivre plus en accord avec soi, à retrouver sa juste place.

Prêt à redevenir vous-même ?

Vous sentez que vous portez encore une image qui ne vous appartient pas ?

Que ce soit pour vous, pour votre enfant, ou simplement pour mieux comprendre ce qui vous anime, je vous accompagne dans un cadre bienveillant et sur mesure.

Contactez-moi au 07 69 93 33 18 et planifions ensemble une séance au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême (Charente) ou à distance, selon vos préférences.

Faut-il croire en l’hypnose ?... Pour qu'elle fonctionne

 « J’ai envie d’arrêter de fumer, mais je ne crois pas en l’hypnose ! Essayez de me convaincre ! »

Cette phrase – un brin provocatrice – m’est parfois lancée au téléphone.

Et, pour être honnête, elle me fait toujours sourire.

L’hypnose n’est pas une croyance, mais un outil

Je ne cherche pas à convaincre. Ce n’est ni mon rôle, ni ma posture.

Je ne suis ni prédicateur, ni guide spirituel. Mon intention est simple : offrir un espace d’exploration, permettre à chacun de se rapprocher de soi-même.

Croire en l’hypnose comme on croit à une religion, à une idéologie ou à une théorie figée n’a pas de sens à mes yeux.

L’hypnose est avant tout un outil d’accompagnement vers le changement, un accès privilégié à vos ressources personnelles, parfois oubliées ou mises de côté.

Ce que vous croyez dépend de ce que vous avez vécu

Nos opinions se construisent à partir de nos expériences, de nos lectures, de notre environnement culturel, familial, médiatique.

Nous croyons en ce que nous connaissons. Et bien souvent, ce que nous appelons "croyance" est une protection, une prudence face à ce que nous ne connaissons pas encore.

Alors non, vous n’êtes pas obligé de croire en l’hypnose pour bénéficier de ses effets.

Mais si vous avez déjà fait l’effort de m’appeler malgré vos doutes, cela signifie que quelque chose en vous a déjà commencé à bouger. Et c’est cela que j’écoute, que j’accueille.

Hypnose : un pont entre votre volonté et vos capacités

L’hypnose n’est pas magique. Ce n’est pas non plus une prise de pouvoir sur vous.

C’est une passerelle entre votre motivation profonde et vos compétences intérieures.

Elle permet d’agir là où la volonté consciente montre ses limites :

• se libérer d’un comportement qui ne vous convient plus (tabac, excès, évitement…)
• apaiser une anxiété, une phobie, une angoisse
• alléger la charge émotionnelle d’un souvenir douloureux
• retrouver confiance et plaisir dans le quotidien

Vous n’avez pas besoin d’y croire. Juste de croire en vous

Si vous ne croyez pas en l’hypnose, ce n’est pas un problème.

Mais si vous êtes là, à envisager de consulter, alors quelque part vous croyez en vous.

Et c’est cela qui fera toute la différence.

Car moi, je ne vous demanderai pas de croire en l’hypnose.

Je vous proposerai simplement d’explorer ensemble comment activer vos ressources intérieures, comment utiliser ce que vous avez déjà en vous – même si vous l’avez momentanément oublié.

Envie de passer à l’étape suivante ?

Vous souhaitez vous libérer d’un comportement, apaiser une émotion, ou simplement retrouver le plaisir de vous lever chaque matin ?

Je vous accompagne en thérapie brève, en hypnose Eriksonienne ou avec d’autres outils personnalisés selon votre situation.

Contactez-moi au 07 69 93 33 18 et organisons une séance au cabinet ANIMA Hypnose sur Angoulême (Charente) ou à distance.