Le deux : une note d’élégance dans un monde rugueux
Quelques grammes de finesse dans un monde rugueux. Une harpe légère au milieu d’un orchestre de cuivres.
Le chiffre deux, ici, évoque la dualité : celle d’un dialogue permanent entre puissance et subtilité, force et délicatesse.
À l’image du pas de deux, cette danse suspendue entre deux corps, deux souffles, deux rythmes.
L’union d’un prince et d’une fée, d’un mouvement et de sa réponse, dans un équilibre toujours fragile. Une danse de l’accord, une offrande de beauté dans un monde trop souvent assourdissant.
Le paradoxe du deux : chaos et dentelle
Le deux me fait penser à Tchaïkovski. À Casse-Noisette. À la grâce qui surgit dans la complexité.
Si la dentelle avait un son, elle serait faite de ces harmonies russes, puissantes et raffinées.
Quel contraste saisissant entre la rugosité du monde et cette élégance chorégraphiée.
Et pourtant, ce paradoxe n’est pas si éloigné de ce que nous portons : nous sommes faits de contradictions.
De tensions intérieures, de tiraillements entre l’élan et la retenue, la force et la douceur.
Faire danser nos contradictions, plutôt que les fuir
Je suis tout entier fait de deux :
Deux parts de moi, parfois en désaccord, parfois en friction. L’une cherche à dominer, l’autre à disparaître.
Mais si je me bats contre moi-même, qui gagne, au juste ?
Le deux m’invite à une autre voie : celle de l’acceptation, non de la soumission, mais d’une reconnaissance lucide.
Accueillir la colère comme on accueille la tendresse. Reconnaître le doute comme on reconnaît la foi.
Non pour entretenir la guerre, mais pour ouvrir un espace de dialogue intérieur, où chaque partie a sa place.
Le deux, comme un appel à la paix intérieure
Et si le deux décembre devenait le jour où vous transformez vos opposés en partenaires ?
Ce deux ne serait plus un combat, mais un pas de danse.
Un moment suspendu, où chaque part de vous-même se sent vue, entendue, intégrée.
Car c’est en cessant de désigner nos parties sombres comme ennemies qu’elles cessent de crier.
Et dans ce silence apaisé, quelque chose de fin, d’élégant, peut alors émerger.
Rien de plus, rien de moins.
En ce deux décembre, je vous souhaite de rencontrer de beaux partenaires intérieurs.Et pourquoi pas, de les faire danser ensemble.
Envie de vous réconcilier avec vous-même ?
Je vous accompagne pour trouver l’harmonie intérieure, accueillir vos paradoxes et cheminer vers plus de clarté. Contactez-moi au 07 69 93 33 18 pour une séance au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême ou à distance, à votre rythme.
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